Bigo Franco

Premier épisode du nouveau podcast cinéma du Bigo. C'est Bigo Ciné et aujourd’hui, on parle du nouveau film de Louis Garrel, L'innocent !

Hésitez pas à commenter, on veut vos retours !

Un épisode qui revient aux fondamentaux du Bigo. On y parle de Francs, mais aussi du Hryvnia, la monnaie de nos chers amis ukrainiens. Au détour d’une histoire passionnante se déroulant sur l’esplanade de l’UGC, vos 4 trublions s’amusent à fantasmer la vie d’un petit bonhomme et de sa chaise de bureau.

Des révélations sur du cuir de chèvre, un coup de gueule sur Big Fernand, et encore et toujours, une avalanche de bons mots, voici le Bigo Franco, enregistré entre Nantes, Paris 8 et Strasbourg. De L’Ouest à L’Est, en passant par la capitale, ce podcast saura vous accompagner durant vos trajets de bus ou autres activités quotidiennes.

C'est le retour. Après de longs mois d'été, où l'absence de vos 4 trublions préférés s'est fait ressentir, il est enfin venu l'heure d'un nouveau Bigo Franco. C'est le décrassage, les genoux grincent un peu mais l'esprit du Bigo ne nous à jamais quittés. Des jeux, des imitations, un connard de buraliste, des plantes, le portable. Tout les ingrédients sont réunis.

Comme Zizou en 2005, comme PNL sur la Tour Eiffel. Comme Bayrou tout les 5 ans, le Bigo est de retour.

Cela fait bientôt deux mois que cet épisode a été tourné. Depuis ces deux mois, aucun signe de vie de notre quatuor. D’aucuns affirment qu’ils sont en retraite spirituelle, mais certains disent les avoir vu vagabonder au Cap Ferret, près de la cabane de Joël Dupuch.

Selon Valeurs Actuelles, les quatre comiques ont été enlevés par des islamogauchistes, terrifiés par la liberté de ton qu’ils incarnent.
Selon La Croix, le carré magique a finalement découvert la voix de la raison, et suit aujourd’hui le chemin de Dieu (ils ont eu un coup de foudre pour le vin de messe selon Auguste-Octave de la Boissonnière de Montmirail).
Enfin, selon l’Humanité, ils sont tombés amoureux du diabolo, et ne jurent plus que par les arts de rue (ils ont eu un coup de foudre pour la 8.6 selon un babos de Nantes).

Comme un cadeau d’adieu (ou d’au revoir, qui sait?), ils vous éclairent de leur science et de leurs connaissances cinématographiques. En effet, il est ENFIN LÀ, l’épisode 2 du Bigo Tier-List.

Comment décrire cet épisode, un élixir de l’esprit franco, la quintessence du savoir cinématographique français? Plus concis qu’un épisode de Capital, plus enflammé qu’un débat au PMU, plus intelligent qu’un discours de Marine Le Pen (logique), et ÉVIDEMMENT beaucoup plus franco que des parisiens en vacances sur la côte.

Le Bigo décide d’innover! En effet nous accueillons aujourd’hui un invité, aux antipodes des ‘valeurs franco’. Se prénommant Jules, ce-dernier est l’un des fondateurs d’une start-up parisienne de trottinettes solaires. La vision du monde de notre citadin va venir s’entrechoquer avec l’idéal du Bigo Franco, donnant lieu à de nombreux débats.

Les controverses furent variées, il y a dans ce Bigo à boire (Chouffe, 1664, Ricard…) et à manger (pains au chocolat, sandwich d’Antonin…).

Pour commencer, le cas des distributeurs automatiques va diviser nos trublions. En effet, s’affronteront les partisans de l’artisanat local qui se méfient de cette irruption de la technologie dans nos vies, et les vendus au grand capital macroniste qui souhaitent remplacer les hommes par des machines.

Alors qu’Antonin finit sa baguette en direct, le Bigo Franco entame LE sujet central de cet épisode: les mouchoirs en tissu. La plupart des membres en feront l’éloge, et y verront même un garant de l’esprit Franco, symbole du Franco rural et de l’attachement à la terre mère.

Pour finir, la parisien du Bigo nous racontera comment il s’est fait voler 3€ par un Suisse, preuve s’il en fallait, que le parisien est une lavette (Jules reste quand même le Goat, on l’❤️)